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L'interview décalée de Jean-Pierre Orts
Figure emblématique du Variétés Club de France, Jean-Pierre Orts en est aussi le meilleur buteur de l’histoire avec 710 buts au compteur. Membre du VCF depuis juin 1993, l’ancien attaquant de l’Olympique Lyonnais s’est prêté au jeu d’une petite interview décalée.
Jean-Pierre, on va commencer doucement, ou pas… Qui est la plus belle trompette de l’équipe ?
De façon très amicale, Walter Oyono.
Depuis que vous êtes au Variétés, quel joueur vous a le plus impressionné ?
Je surprends personne en disant Platini. Ce fut une chance de l’avoir côtoyé. Il y en a eu d’autres bien sûr mais pour moi, il reste le plus grand.
Qui vous a donné les plus beaux caviars ?
Platoche, Giresse et mon ami Jean Michel Guede.
Qui est le plus chambreur ?
Je dois être dans les premiers, sinon je dirais Vincent Magniez.
Le fin technicien ?
Ce n’est pas un secret, je suis le plus grand technicien !
À choisir entre un but ou une blague ?
Une blague pour rester dans l’esprit du Variétés. Le but n’est pas le plus important. Si je joue aujourd’hui au Variétés, c’est avant tout pour l’ambiance.
Vincent Magniez ou Iker Casillas ?
Vincent évidemment. Et je n’ai jamais été très fan de Casillas même en étant espagnol. Donc je prends Vincent !
La barre des 1000 buts. Rêve ou objectif ?
Ni un rêve ni un objectif. Je ne vais pas jouer encore des années et ce n’est plus dans ma mentalité. On joue avant tout pour le plaisir.
Quel(s) joueur(s) vient pour ne pas jouer au foot ?
À ma connaissance pas beaucoup. Mais le peu, je les garde pour moi (Rires).
Une anecdote un peu secrète ?
J’ai déjà vu deux joueurs tacler ensemble pour marquer le but. Ils se reconnaitront.
Jean Pierre Orts en deux mots ?
Bon camarade serviable et bon joueur, non, très bon joueur.
On vous laisse le mot de la fin…
Merci à Jacques car il m’a permis de prolonger ma carrière. J’ai eu la chance de faire partie du plus grand club français avec de très grands joueurs. Autant dans ma carrière j’ai joué contre eux mais Jacques nous a permis de jouer avec eux. Après, il fallait être bon…